C’est une question que je me pose ces temps-ci et je me permets de partager cette réflexion personnelle avec vous
Comme beaucoup ici, j’éprouve une attraction « intense » et sexuelle pour le caca que l’on a, volontairement , poussé dans sa culotte : ça me donne envie de me caresser, ça me provoque une érection phénoménale, et je trouve que les femmes ayant une culotte pleine sont hautement désirable, à la condition de rester dans une forme d’élégance et de … pureté (je ne trouve pas d’autre mot)
Par pureté, j’entends l’acte de remplir sa culotte comme ultime moment d’interdit mêlé de fierté.la « matière »reste dans le tissu, le déforme… chose impensable dans notre société de bonne mœurs. Elle se montre discrètement sur un pantalon, suscitant l’interrogation et la surprise gênée auprès des personnes « bien éduquées ».
Ajoutez à ça les sensations bien sur, avant (excitation de « le faire », pousser sachant que..), pendant, quand le caca passe par nos sphincters, presque une sodomie, et après, quand on le sent s’étaler entre nos fesses et s’écraser sur le tissu.
Et encore après, en « vivant » avec cette chose qui n’a pas sa place, cet intrus dans notre culotte, en faisant des actions quotidiennes bêtes et méchantes, se balader dans sa maison, faire un peu de ménage, passer un coup de fil, ou, pour les plus intrépides, être à l’extérieur (promenade, shopping, transports…). Et bien sûr , bien sûr, l’idée saugrenue de s’asseoir, et de sentir cette matière à la fois revenir dans l’anus et tenter de le pénétrer, et à la fois s’étaler partout, s’évadant parfois vers des horizons innatendues
Voilà, tout cela me traverse, m’inspire, m’autorise un désir intense, qu’il me faut assouvir
Mais le caca en lui-même… ne m’attire franchement pas plus que ça, et je préfère qu’il reste dans la culotte.
L’étaler sur son corps, tremper ses mains dedans, le goûter… m’indiffère si ce n’est me dégoûte
Déjà rien que ça pose pas mal de questions
J’ai pourtant des fantasmes dans le fantasme, des choses qui m’attirent alors qu’elles semblent avoir franchi une frontière. En tout cas elles m’attirent dans mon imaginaire. Les vivre en vrai risqueraient peut être d’être autrement.je ne sais pas.
Par exemple, l’idée de faire l’amour à une femme (hétéro un jour, hétéro toujours) ayant la culotte pleine m’excite au plus haut point. Dans la même veine, pénétrer une femme à travers sa culotte, et qu’elle pousse ensuite, dans le feu de l’action,et la remplit… j’y pense beaucoup.
Des choses comme ça quoi.
Je me cherche donc sur mes limites, mais sachez qu’elles existent. Tout ne m’attire pas avec le caca. Je pense avoir cerné ici les grandes lignes de ce qui chahute mon désir, et de ce qui le fait retomber, avec des frontières floues bien sûr
Alors d’après vous… suis-je scato ?
Et vous… pensez-vous l’être ?
Suis-je scato ?
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Suis-je scato ?
Pourquoi ai-je ce fantasme ? Et pourquoi pas ?