Quelques précisions quand à mes publications

[Valona]

Mes petites histoires

J'en profite. Une petite mise au point. C'est le plus souvent, quand je suis en vacances avec mes parents, que j'écris sur mon Blog. Les textes que je partage sur les différents forums où je publie, sont toujours tirés de mon Blog dont les droits sont réservés - © -. J'ai une excellente connexion dans notre maison de campagne malgré son isolement. Le plus souvent en juillet. Nous sommes également parfois chez mon tonton et ma tata. Je suis alors souvent obligée de materner ma cousine. Nous nous voyons tous les ans. En été. Je me rends compte à quel point cette fille de 20 ans devient de plus plus ennuyeuse. Gourde parfois. Aussi, je n'ai plus qu'un impérieux besoin, m'en isoler à chaque fois que c'est possible. Je reste souriante et affable. Je ne suis pas du genre à montrer mes ressentis ni mes sentiments. Même ennuyée. Jamais frontale. Je déteste faire de la peine inutilement ou par égoïsme.

Nous passons également un mois à Los Angeles tous les ans. De la famille. Nous sommes le 11 aout 2022 lorsque j'écris ces lignes. Encore vingt jours avant de rentrer avec l'avion. J'attends avec impatience le moment du départ. Ici, chaque déplacement dure des heures sur des autoroutes à huit voies dans une ville qui n'en finie plus d'étaler ses 80 km de banlieue, alternants avec de faux centres ville. Tout est à une échelle différente. Gigantesque. Il fait beau. La température extérieure ne dépasse que rarement les 28°, toute l'année. Il n'y a pas de réelles saisons. La nuit il fait 22°. Mais les séquences pluvieuses peuvent s'avérer dévastatrices. C'est donc la plupart du temps un climat des plus agréables. Très supportable.

Les gens sont assez superficiels. Je me demande s'il est possible de nouer de véritables relations d'amitiés avec quelqu'un. Tout ici est tellement surfait, obséquieux, plein de fatuité et de suffisance. Vivement mon groupe d'amis, mon université et la rentrée du lundi 16 septembre. C'est la toute première année où ce sentiment d'ennui est aussi récurrent. L'âge peut-être. Nous partons trop longtemps. Les étés de mon enfance c'était souvent tout le mois d'août. Et toujours dans cet État, dans ce pays immense. Je crois que maman partage ce même sentiment. Elle n'en parle pas.

Aussi, j'écris beaucoup. Ces petits récits que j'aime à poster sur mon Blog lorsque la connexion le permet. Je les garde dans mes archives, sur Word. Et sur un des disques durs de mon MacBook Pro. Il y a déjà là de quoi amuser mes lecteurs pour de futures publications. J'y relate mes petites expéditions coquines. Mes expériences ludiques. Mes aventures exhibitionnistes de voyeuse "extra ludique". Je suis souvent pressée de me retrouver chez nous. Dans notre région. Retrouver mes petits endroits secrets. Renouer avec mes mises en scènes et les situations dont je raffole. Ici, ce n'est pas possible. Pas judicieux. Tout le monde est "fermé". Ces choses, dans le pays de l'Oncle Sam, sont gravement répréhensibles et les gens tellement "coincés" que c'est inimaginable!

Ici, les féministes ont fait tellement de mal à tout l'environnement social que dès qu'un homme croise une fille seule, il prend peur et s'enfuit en courant. J'exagère à peine. Les ravages causés par certaines frustrées de leur condition, sont devenus un drame dans le rapport entre hommes et femmes. Les horreurs du wokisme dans toutes leurs immondes retombées sociales. Exclusivement dans les grandes métropoles toutefois. Les campagnes restent "traditionnelles" mais nous ne les connaissons pas vraiment. Je me souviens d'un séjour dans les Kentucky. Ses immensités agricoles. La gentillesse des gens simples de cet État. Dans les métropoles, il en va tout autrement. Les types ont tellement la trouille de se voir coller un procès pour harcèlement parce qu'ils ont demandé l'heure à une fille, qu'ils portent deux montres. Au cas ou l'une cesserait de fonctionner. J'exagère à peine. C'est tellement pitoyable. Minable.

Aussi, moi, si souriante, entrant facilement en contact, je risque de me faire taxer de "racoleuse" par toutes ces redoutables salopes qui s'obstinent à pourrir la vie sociale "normale". Ici, elles sont carrément organisées en "milices", créant des pièges pour pouvoir déclencher des procédures judiciaires afin de récupérer de l'argent. L'argent est roi en ce pays. Tous les moyens, y compris les plus scélérats et les plus retors, pour en gagner, sont légitimés par une mentalité mercantile. Un regard appuyé de la part d'un homme est perçu comme une agression sexuelle. C'est devenu délirant. Heureusement, il y a des mecs qui commencent à s'organiser. Les faits divers en deviennent d'ailleurs inquiétants. Les représailles augmentent de manières inquiétantes.

Voilà. Je viens de m'épancher un peu. Je vous souhaite de beaux moments de lectures avec mes histoires qui ne sont qu'écumes sans conséquences...

Bisou